Une gestion étonnante des priorités.
Les chiffres justificatifs en termes de délinquance locale ne sont toujours pas fournis malgré nos demandes répétées. Soucieuse de sa politique d’affichage, la municipalité empile les moyens sans qu’aucun débat n'ait eu lieu en commission municipale. La pertinence des caméras n’est ainsi pas établie et
la promenade des chevaux avec leur cavalière (rappelons-le, ce ne sont pas des policières) reste l’exemple le plus aberrant (pour plus de 100 000 euros par an au total).
L’accueil des enfants dans les centres de loisirs semble, a contrario, se faire dans des conditions tendues voire illégales. En plusieurs occasions, le faible nombre d’animateurs (3 animateurs pour 70 enfants) n’aurait pas permis de gérer efficacement et en toute sécurité des situations d’incident.
Pendant ce temps,
les départs de personnels municipaux se succèdent, conséquence à nos yeux d’une vision managériale dépassée.
Comme trop souvent, le maire décide seul ou en petit comité des mesures qu’il croit bonnes pour ses concitoyens et le personnel communal, sans demander leur avis.
Où est la démocratie dans la façon de définir nos actions prioritaires ?